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Promouvoir l'accès et l'accessibilité : Une entrevue avec la paratriathlète et récipiendaire d'une bourse FACE, Leanne Taylor

En 2018, alors que Leanne Taylor faisait du vélo de montagne avec son fiancé dans le sentier Bison Butte à Winnipeg, elle a malheureusement heurté une bosse qui l'a fait passer par-dessus son guidon. Tomber est chose courante pour ceux qui pratiquent le vélo de montagne, mais cette chute était bien différente. Leanne a disloqué sa colonne vertébrale entre la 9e et 10e vertèbre thoracique, ce qui l'a laissée paralysée de façon permanente à partir de la taille.

Durant son rétablissement, Leanne a découvert le paratriathlon et a participé à sa première course seulement huit mois après son accident. Depuis les cinq dernières années, elle est devenue une athlète de calibre mondial, et elle a comme objectif de prendre part aux Jeux paralympiques de Paris 2024. Elle a également reçu une bourse du programme Favoriser les athlètes et les entraîneurs à la conquête de l'excellence (FACEMC) en 2020 et en 2022.

Photo de Leanne Taylor, para-triathlète
Photo fournie par Leanne Taylor

À l'aube de la Journée internationale des personnes handicapées annuelle (3 décembre), j'ai discuté avec Leanne de la progression de son entraînement, des répercussions qu'a eues le parasport sur sa vie et de la planification de son mariage.

PC : Merci infiniment d'avoir pris du temps dans ton horaire très chargé pour discuter avec moi aujourd'hui! Comme tu le sais, le 3 décembre est la Journée internationale des personnes handicapées, une journée spécifiquement dédiée à célébrer les réalisations et à promouvoir l'inclusion. Selon ta perspective, quels changements ou initiatives sont les plus importants pour favoriser un environnement plus inclusif pour les personnes handicapées dans le monde du sport et dans la société?

Lorsqu'ils voient une personne handicapée, plusieurs se disent : « C'est tellement triste. Ça doit être vraiment difficile ». J'utilise moi-même un fauteuil roulant, donc les gens pensent que « la vie en fauteuil roulant doit être si difficile ».

Cependant, ce qui rend la vie en fauteuil roulant difficile, c'est le manque d'accessibilité, et non le handicap en lui-même.

Par exemple, il y a certaines choses physiques que je ne peux pas faire en tant qu'utilisatrice d'un fauteuil roulant; toutefois, il y a plusieurs choses physiques que je ne peux pas faire, non en raison de mon handicap, mais en raison du manque d'accessibilité ou d'accès. Par exemple, je peux nager une distance de 5 km sans problème, mais je n'ai pas accès à certaines piscines.

Un autre exemple : à certains événements sportifs, si une personne handicapée souhaite acheter un billet pour un siège accessible, elle peut souvent n'inviter qu'un seul ami. Toutes ces petites situations nous empêchent de prendre pleinement part à des événements considérés « normaux » ou disponibles pour les autres.

Les gens pensent qu'avoir un handicap est malheureux, mais ils ne réalisent pas que ce qui est réellement malheureux, c'est le manque d'accessibilité.

 

PC : Par conséquent, il serait important de mettre l'accent sur la recherche de solutions pour rendre ces espaces et événements plus accessibles?

Oui. Par exemple, lorsque je communique avec les organisateurs d'un événement et leur demande si je peux y participer, souvent, ils ne savent pas comment s'y prendre, donc la réponse est « non ». Ce n'est pas parce qu'ils en sont incapables, mais bien parce qu'ils sont mal à l'aise de ne pas savoir quoi faire et de demander de l'aide.

Mais dans la plupart des cas, les gens veulent vraiment dire « oui », donc ils communiquent de nouveau avec moi et me demandent comment rendre un événement accessible. C'est difficile à faire! Il peut être difficile de dire « oui », mais les gens qui sont prêts à avoir ces conversations peuvent ouvrir beaucoup de portes.

 

PC : Quel conseil donneriez-vous aux personnes handicapées qui pourraient hésiter à pratiquer des sports ou des activités physiques?

Quand je pense à mon introduction aux parasports, je pense à la façon dont je me sentais quand j'ai voulu aller nager pour la première fois après mon accident. Une des plus grandes difficultés auxquelles une personne handicapée fait face lorsqu'elle commence un nouveau sport, c'est qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait. Et les gens vont vous regarder - les personnes handicapées attirent l'attention. Ce n'est pas parce qu'ils sont méchants, mais bien curieux. C'est ce qui peut rendre difficile l’essai de quelque chose de nouveau et provoquer énormément de peur.

Une chose qui me motive quand je suis dans un environnement unique - et que les gens me regardent et que je me sens un peu gênée - est que la prochaine fois que les gens verront une personne handicapée dans cet environnement, la situation n'attirera pas autant l'attention.

Il est parfois difficile d'être motivé à faire quelque chose juste pour soi-même, mais on réalise que chaque fois qu'on essaie quelque chose de nouveau ou d'inconfortable, on rend service à l'ensemble des personnes handicapées. Nous pouvons tous devenir à l'aise de voir des personnes handicapées dans ces espaces.

Photo de Leanne Taylor, para-triathlète alignée dans l'eau, prête à participer à la partie natation d'un triathlon
Photo fournie par Leanne Taylor

PC : Sur vos médias sociaux, vous avez partagé plusieurs vidéos montrant comment vous avez rendu votre maison plus accessible. Avez-vous reçu des commentaires par rapport à ces vidéos?

J'ai publié ces vidéos parce qu'un jour, alors que j'étais sortie à vélo, une femme qui me suit sur les médias sociaux m'a abordée. Elle a expliqué qu'une personne dans sa vie utilisait maintenant un fauteuil roulant et qu'elle était curieuse de savoir comment rendre sa maison plus accueillante et accessible pour cette personne, considérant que la maison ne lui appartenait pas. À l'origine, notre première maison n'était pas conçue pour être entièrement accessible à un fauteuil roulant, donc je suis en mesure de montrer des façons différentes et graduelles de rendre les choses un peu plus faciles ou accessibles pour une personne en fauteuil roulant.

 

PC : Comment se passe l'entraînement? Les Jeux paralympiques de Paris 2024 sont-ils le prochain grand événement auquel tu te prépares?

L'entraînement se passe très bien. Il y a des athlètes qui adorent les courses, et d'autres qui adorent l'entraînement; pour ma part, j'adore l'entraînement! Dans le cadre des Jeux de Paris, les qualifications ont lieu pendant un an et sont basées sur les trois meilleurs pointages que vous obtenez aux événements de qualification. Ensuite, les neuf meilleurs athlètes dans la cohorte sont sélectionnés. Jusqu'à présent, j'ai obtenu deux excellents pointages. Le troisième événement était censé être l'épreuve préparatoire en vue du paratriathlon aux Jeux de Paris, mais la qualité de l'eau n'était pas assez bonne pour la nage. Ainsi, je prendrai part à un autre triathlon complet en mars. Donc si je continue de performer comme en ce moment, je devrais me qualifier. Nous ne le saurons toutefois pas avant cette épreuve. Mon entraîneur me dit que je devrais arrêter de m'inquiéter!

  

PC : Les sports peuvent faire vivre des hauts et des bas intenses. Qu'est-ce qui te motive à continuer de repousser les limites et à te lancer de nouveaux défis?

Quand on pense à ce qu'on essaie d'accomplir, on a des objectifs qui reposent sur des médailles, la ligne d'arrivée et des résultats précis, mais si c'est la seule chose qui vous motive, vous êtes susceptible d'être déçu lorsque des choses hors de votre contrôle se produisent et vous empêchent d'atteindre les résultats escomptés. D'une certaine façon, le triathlon est un sport chaotique et tout peut arriver - une crevaison, des différences dans les cartes, des accidents durant la course - ce qui peut avoir une incidence sur les résultats.  

Même si je tiens à décrocher une médaille à Paris, ça ne peut pas être la seule chose qui me motive. Ainsi, quand j'approche une ligne de départ, je prends une minute pour me rappeler que j'ai été brave, que j'ai travaillé fort et que j'ai surmonté tellement de choses pour m'y rendre. Je prends un moment pour apprécier les aptitudes que j'ai développées et les capacités requises pour simplement se rendre à cette ligne de départ. Que je décroche ou non la médaille, quand je rentrerai à la maison après les Jeux, ce ne sera qu'un morceau de métal et la personne que je suis devenue sera la véritable réalisation.

Photo de Leanne Taylor, paratriathlète, dans son fauteuil roulant de course, courant le long d'une piste.
Photo fournie par Leanne Taylor

PC : De quelle façon la pratique du triathlon a-t-elle eu une incidence sur votre bien-être et votre qualité de vie en général?

Quand je me suis blessée, les gens me visitaient à l'hôpital et pleuraient, ce que je comprenais puisque le type de blessure que j’ai subi est triste et traumatisant pour tout le monde. Cependant, je ne voulais pas que les gens se disent « Oh, c'est si triste ce qui lui est arrivé » lorsqu'ils me voient. Quand j'étais encore aux soins intensifs, une des choses que j'ai dites à mon fiancé était que je voulais bâtir une vie, après ma blessure, qui était si extraordinaire que nous n'aurions pas le désir de revenir en arrière et d’empêcher la blessure de se produire.

C'est un projet ambitieux et au début, ce n'était probablement pas le cas; mais ma blessure remonte à cinq ans, et je peux dire honnêtement que si j'avais l'option de revenir en arrière, je ne le ferais pas. Les liens que j'ai créés avec des gens, la confiance en moi que j'ai développée et la vie que j'ai bâtie pour ma famille sont si positifs. J'ai le sentiment d'être exactement où je devrais être. Une grande partie peut être attribuable au parasport - l'environnement que vous intégrez ainsi que les gens que vous rencontrez et ce qu'ils vous apprennent par rapport à ce qui compte vraiment.

 

PC : Sur une note personnelle, tu te maries bientôt. Comment se passe la planification du mariage, en particulier en tant que personne handicapée?

Nous avons choisi une salle de réception accessible. Au moins trois personnes en fauteuil roulant seront présentes, donc nous voulions nous assurer de pouvoir nous déplacer facilement de table en table. De plus, une de mes coéquipières qui est aveugle devait être présente (malheureusement, ce n'est plus le cas). À ce moment-là, nous avons parlé de faire appel à un narrateur pour la cérémonie; comme elle est complètement aveugle, elle n'aurait pas nécessairement su ce qui se passait. Nous avons pensé qu'il serait bien de faire voir à nos invités l'expérience d'autres personnes.

 

PC : Leanne, merci énormément d'avoir expliqué ton histoire et ton point de vue. Félicitations pour ton mariage à venir; nous te souhaitons beaucoup de bonheur. De plus, nous t'encouragerons durant ton parcours vers Paris.

Si vous souhaitez suivre le parcours de parasport de Leanne, vous pouvez consulter sa page Instagram et son compte TikTok. Nous présenterons également l'entrevue de Leanne sur notre page Instagram. Nous sommes reconnaissants du dévouement de Leanne envers la promotion d'espaces plus inclusifs pour les personnes handicapées – un thème clé dans le cadre de la Journée internationale des personnes handicapées (anglais seulement) – en plus de ses propres objectifs liés au parasport et nous sommes fiers d'appuyer ses rêves d'athlète.

Depuis 1988, Petro-Canada a appuyé plus de 3 500 athlètes canadiens et leurs entraîneurs en offrant un soutien financier de plus de 13,5 millions $ grâce au programme de subvention Favoriser les athlètes et les entraîneurs à la conquête de l'excellence (FACEMC). Parmi ces athlètes, des centaines ont ensuite représenté le Canada aux Jeux olympiques et paralympiques. Renseignez-vous davantage sur le programme FACE et la façon dont nous soutenons les athlètes et entraîneurs canadiens depuis 35 ans.  


Renforcer la confiance et la crédibilité grâce à nos partenariats avec les Autochtones

Dans le cadre des efforts déployés par Petro-Canada pour reconnaître le Mois national de l'histoire autochtone, nous voulions nous entretenir avec l'équipe responsable du développement des partenariats avec les Autochtones dans notre réseau. J'ai récemment discuté avec Pat Pambianco, directeur, Activités des ventes au détail – Ouest du Canada, au sujet de l'histoire des partenariats de Petro-Canada avec les communautés autochtones.

Parlons carburant : Merci de vous entretenir avec moi aujourd'hui, Pat. Tout d'abord, pouvez-vous me parler un peu de votre rôle et de la façon dont vous travaillez avec les communautés autochtones?

Pat Pambianco : En tant que directeur des établissements de ventes au détail dans l'Ouest du Canada, je suis responsable avec mon équipe des 350 stations-service Petro-Canada indépendantes dans la région de l'Ouest. Cette région s'étend du Nord de l'Ontario jusqu'à l'Ouest de l'île de Vancouver, en passant par le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest. Ces établissements font partie de notre réseau de détaillants indépendants, ce qui signifie que les établissements, la propriété et tous les actifs leur appartiennent. Mon équipe est composée de 11 employés – y compris des directeurs de compte, des représentants de l'expansion commerciale et un conseiller aux ventes – qui résident dans différentes localités un peu partout dans la région et appuient nos relations avec ces établissements et leurs propriétaires. Parmi les 350 établissements Petro-Canada dans cette région, nous sommes fiers d'affirmer que nous comptons 58 détaillants Petro-Canada autochtones; plus tard cette année, on devrait surpasser les 60 établissements.

Établissement Petro-Canada Nk’Mip Corner sur la réserve de la bande indienne d'Osoyoos, près d'Osoyoos, en Colombie-Britannique.
Établissement Petro-Canada Nk’Mip Corner sur la réserve de la bande indienne d'Osoyoos, près d'Osoyoos, en Colombie-Britannique.

PC : À quel moment Petro-Canada a-t-elle développé son premier établissement dans la communauté autochtone?

PP : Petro-Canada a commencé à collaborer avec la communauté autochtone il y a environ 20 ans. Ce fut un franc succès pour les deux parties. Notre district où se trouvent les établissements autochtones a vraiment commencé à communiquer et à évoluer collectivement il y a environ 11 ans. Ma première expérience a été avec l'établissement sur la réserve indienne Grasswoods de la Première Nation d'English River, au sud de Saskatoon. La communauté avait demandé à intégrer notre marque Petro-Canada et, après avoir fait plus ample connaissance, nous étions très enthousiastes à l’idée de travailler ensemble. Nous avons également ajouté le premier établissement Petro-Canada autochtone en Alberta. Il s'agissait d'un établissement sans marque, ce qui signifie qu'on n’y vendait aucun carburant de marque nationale. Nous sommes en mesure d'offrir un important soutien aux nouveaux établissements : la conception de l'établissement, des conseils relativement à l'emplacement, des recommandations liées aux entrepreneurs et de la formation sur place pour le personnel. Nous pouvons les aider à chaque étape de la construction et de l'exploitation.

Nous savions qu'il n'y avait eu aucun effort concerté pour communiquer avec les communautés autochtones afin d'établir un partenariat commercial, mais après coup, nous avons réalisé que ces communautés accueilleraient ce genre d'occasion et de relation. La valeur économique pour cette communauté est, évidemment, un énorme avantage, comme c'est le cas de l'emploi des résidents. Toutefois, ce qui compte le plus, c'est qu'une station-service de marque Petro-Canada n'est souvent que le commencement.

Établissement Petro-Canada de la Nation Sioux Valley Dakota près de Griswold, au Manitoba.
Établissement Petro-Canada de la Nation Sioux Valley Dakota près de Griswold, au Manitoba.

PC : De quelle façon nos stations-service autochtones ont-elles contribué aux communautés autochtones?

PP : Plusieurs communautés ont construit plus d'une station-service : au moins 10 communautés possèdent plus de deux stations-service, tandis qu'une d'entre elles en a quatre. Et il s'agit d'établissements phares absolument magnifiques. Ce sont certains des meilleurs établissements de notre réseau qui intègrent souvent leur propre héritage culturel et leurs œuvres d'art.

De plus, plusieurs communautés utilisent cette première station-service Petro-Canada comme fondation pour saisir d'autres occasions commerciales. Peut-être que tout a commencé par une seule station-service, mais aujourd'hui, on travaille avec des sociétés remarquables et efficaces. Plusieurs de ces communautés créent de plus en plus d'occasions commerciales : le commerce du carburant en gros, des firmes de consultation, des firmes d'ingénieurs, l'exploitation minière, des vignobles, des restaurants et même des hippodromes de type formule 1. Nous évoluons et prospérons vraiment avec les nombreuses entreprises commerciales en cours de route.

PC : Nous avons fait beaucoup de chemin depuis notre premier établissement Petro-Canada autochtone. Pourquoi est-il important pour Petro-Canada de travailler auprès des communautés des Premières Nations?

PP : Nos relations avec les communautés autochtones sont vraiment une solution profitable à tous. Le fait de détenir une station-service Petro-Canada aide leur communauté financièrement. Ces relations contribuent à notre représentation dans leur communauté. De plus, elles rapprochent nos deux communautés. Il s'agit pour moi du principal avantage. En travaillant avec les communautés autochtones, nous sommes en mesure de sortir des vieux paradigmes qui existaient chez les deux parties. Nous pouvons renforcer la confiance en travaillant ensemble.

Le renforcement de cette confiance et cette crédibilité est un processus lent. Un élément qui est très utile, c'est d'avoir une personne sur le terrain dans leur région, un directeur de compte que les détaillants peuvent appeler et avec qui ils peuvent établir une relation. Plus nous avons appris à nous connaître, plus nous avons réalisé que nous avons des objectifs similaires. Nous voulons tous ce qu'il y a de mieux pour nos enfants, nos familles et nos communautés.

Finalement, tout repose sur les relations. Je suis fier de voir que nos relations sont solides et continuent d'évoluer. Tout comme le bouche-à-oreille positif. Nous recevons souvent des appels de communautés autochtones de partout au pays qui ont obtenu des recommandations d'une autre communauté mentionnant que nous sommes un partenaire commercial fiable et digne de confiance. De plus, nous avons maintenant le grand honneur d'être invités à participer aux célébrations culturelles des communautés autochtones.

Caribou Mountain Travel Centre, près de High Level, en Alberta. Nation crie de Little Red River.
Caribou Mountain Travel Centre, près de High Level, en Alberta. Nation crie de Little Red River.
Utilisée sous permission. Photo : Anonyme

PC : Qu'est-ce qui vous passionne particulièrement du fait d'appuyer les occasions d'expansion dans les communautés autochtones?

PP : J'aime vraiment ce que les communautés autochtones construisent et la vision de plusieurs d'entre elles. Elles ne s’arrêtent pas à la station-service. Elles développent des zones touristiques. Elles intègrent des œuvres d'art et de l'artisanat d'artistes locaux dans l’établissement et le mettent à leur image. Elles sont vraiment déterminées à servir TOUTES les communautés.

J'aime voir l'enthousiasme des gens qui travaillent aux stations-service et travailler avec des personnes passionnées qui sont prêtes à prendre des mesures délibérées afin d'aider leur communauté. Nos partenariats avec les Autochtones vont au-delà de la station-service. Je suis fier de notre contribution à un aspect positif pour leurs communautés.

PC : Dans le cadre de vos discussions avec nos partenaires autochtones, avez-vous abordé la façon dont nous pouvons faire mieux en tant qu'entreprise?

PP : Nous pouvons toujours faire mieux, et nous apprenons en communiquant avec nos clients et nos détaillants et en les écoutant. Il est essentiel de favoriser la prospérité économique, et nous chercherons toujours à partager nos réussites et relations dans d'autres secteurs, comme les restaurants à service rapide, les lave-autos, les dépanneurs et le pouvoir d'achat duquel on profite en faisant partie de la famille Petro-Canada.

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Merci, Pat, d'avoir fait part de vos réflexions sur les partenariats de Petro-Canada avec les communautés autochtones. C'est formidable de voir l'évolution de la confiance et la crédibilité que vous et votre équipe aidez à bâtir.