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Gardez votre chien en sécurité dans la voiture en temps de pandémie

Notre chien, Effie, adorait les balades en voiture. La plupart du temps, cela signifiait qu'on allait à un endroit amusant, comme le parc à chiens. D'autres fois, cela signifiait qu'on allait chez le vétérinaire. Mais elle semblait oublier ces visites peu agréables et sautait toujours sur le siège arrière avec enthousiasme. Elle était un peu moins enthousiaste lorsqu'on lui enfilait son harnais avec fixations pour ceinture de sécurité, mais elle s'y habituait éventuellement.

Effie
Effie dit « N'oubliez pas d'attacher votre ceinture! »

Depuis le début de la pandémie de COVID-19 en 2020, les adoptions de chiens ont connu une hausse au Canada (anglais seulement). Et puisque vous risquez de voyager durant la période des Fêtes à venir, j'ai pensé que ce serait une bonne idée de passer en revue les meilleurs moyens de voyager de façon sécuritaire avec votre animal de compagnie. Il est important de noter que chaque province a sa propre réglementation en matière de transport sécuritaire des animaux de compagnie en voiture et en camion; il est donc préférable de vérifier auprès de la SPCA de votre province.

En général, il existe trois façons d'attacher votre chien dans votre véhicule de façon sécuritaire :

  • Un harnais avec fixations pour ceinture de sécurité – un harnais adapté à votre chien, puis attaché au réceptacle de votre ceinture de sécurité. Cette méthode permet à votre chien de bouger sur le siège arrière et assurera sa sécurité en cas d'arrêts brusques.
  • Une cage – un contenant robuste qui procure un abri à votre chien pendant vos déplacements. La cage devrait également être attachée à l'aide d'un harnais sur le siège arrière ou d'une attache dans le coffre de votre voiture. Ce ne sont pas tous les chiens qui aiment les cages, donc assurez-vous d'habituer votre chien à la maison avant vos déplacements.
  • Un siège d'auto – semblables aux sièges pour enfants, ceux-ci conviennent mieux aux chiens de petite et moyenne taille. Votre chien pourra regarder par la fenêtre, mais sera attaché de façon sécuritaire pendant vos déplacements.

Votre animalerie locale peut vous aider à choisir un dispositif d'attache sécuritaire approprié pour votre chien.

En plus du bon dispositif de sécurité, n'oubliez pas d'apporter les articles essentiels de votre chien si vous voyagez en voiture durant la période des Fêtes – de la nourriture, de l'eau, son lit, son jouet préféré, son collier et sa laisse, et tout médicament requis – et apportez une copie du dossier médical de votre chien au cas où vous devez faire une visite d'urgence chez le vétérinaire.

Nos amis poilus apportent tant de joie dans notre vie – assurons-nous qu'ils soient en sécurité.

~Kate T.


Prendre soin de ceux qui prennent soin des autres – la Fondation proches aimants Petro-Canada

J'ai beaucoup d'admiration pour ma voisine d'en haut, Lydia. Au cours de la dernière année, le frère aîné de Lydia a fait un AVC et sa mère de 89 ans a aménagé avec elle. Lydia travaille à temps plein pour subvenir aux besoins de sa famille et continue en même temps de prendre soin de sa mère et de son frère. Elle travaille sans relâche pour s'assurer que tous ne manquent de rien. Lydia est une proche aidante.

la Fondation proches aimants Petro-Canada

Et des Lydia, il y en a plein au Canada. Huit millions de Canadiens (c.-à-d. 1 sur 4) prennent soin d’un membre de leur famille ou d’un ami ayant un problème de santé de longue durée, une incapacité mentale ou physique ou un besoin lié à l'âge. Ces proches aidants jouent un rôle essentiel en soutenant des parents, des amis et des voisins, mais il arrive trop souvent qu'ils ne reçoivent pas la reconnaissance et l'appui qu'ils méritent. À un moment ou l'autre de leur vie, la moitié des Canadiens seront des proches aidants.

À Petro-Canada, nous croyons que les proches aidants ont aussi besoin de soutien. Voilà pourquoi nous lançons la Fondation proches aimants Petro-Canada. Grâce à la Fondation proches aimants, Suncor, fière propriétaire de Petro-Canada, prévoit investir 10 millions $ au cours des cinq prochaines années pour faire connaître le travail essentiel des proches aidants et leur offrir du soutien.

Les proches aidants fournissent environ 75 % des soins aux patients au Canada. Les proches aidants offrent notamment des services de transport, de préparation des repas et d'entretien. Ils organisent la prise de rendez-vous, aident avec les médicaments et offrent un soutien émotionnel. En moyenne, un proche aidant consacrera 19 heures ou plus par semaine à ses responsabilités liées aux soins, tout en occupant un travail à temps plein et en élevant ses enfants en même temps.

Mais ces activités essentielles ont un coût pour les proches aidants. Selon Statistique Canada, 43 % des proches aidants indiquent s'être absenté du travail, 15 % ont réduit leurs heures et 10 % ont laissé passer une promotion ou un emploi. Bien que ce rôle procure bon nombre de gratifications, les proches aidants font également face à plusieurs défis, y compris un changement dans la dynamique de la relation, des changements extrêmes à leur style de vie, une santé mentale affectée et une tendance à passer beaucoup de temps à s'inquiéter de leurs proches.

La Fondation proches aimants Petro-Canada versera des subventions à des organismes de bienfaisance au Canada qui appuient les proches aidants dans le but d'améliorer et de mieux faire connaître leur travail. Les premiers bénéficiaires de la Fondation proches aimants comprennent les organismes suivants :

Pour bon nombre d'entre eux, le souci de l’autre n’est pas qu’un simple geste de gentillesse : c’est un engagement quotidien et une promesse non écrite. En collaborant avec d'autres organismes du secteur, la Fondation proches aimants cherchera à fournir des outils et des ressources qui peuvent permettre de mieux soutenir les proches aidants au Canada. Vous voulez en savoir plus l'impact des proches aidants et ce que Petro-Canada compte faire à ce sujet, visitez www.prochesaimants.ca.

~ Kate T.


Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 3 : Leçons de vie apprises dans l'Armée

Pour souligner le jour du Souvenir cette année et pour rendre hommage à tous ceux et celles qui ont servi, nous avons demandé à quelques membres de la famille Petro-Canada de partager leurs histoires et leur lien avec les Forces armées canadiennes. Nous avons publié trois histoires cette année : lundi, c'était celle de William Bradley, un PSI à Sudbury, en Ontario; hier, c'était celle de Renald Mazenc, un associé à Calgary, en Alberta et de son fils, Orin Mazenc; et aujourd'hui, c’est celle de Christine, une membre de notre équipe Marketing et de son fils, Jaden.

Coquelicots au bord de la mer, Colombie-Britannique

La famille de Christine n'a pas de tradition de service militaire, donc ce fut un peu surprenant lorsque son fils, Jaden, s'est enrôlé dans les Forces armées canadiennes. Cela fait actuellement deux ans qu'il est dans l'armée. « Nous sommes très fiers de lui et de son service. » Christine nous a présenté Jaden, qui a répondu aux questions suivantes.

Parlons carburant : Pouvez-vous décrire votre rôle dans l'armée?

Je suis un membre de l’Aviation royale canadienne et je suis actuellement apprenti pour devenir technicien de maintenance des avions chargé de l'entretien des systèmes électroniques sur les avions CC-130J Hercules. Ces derniers sont utilisés pour des vols outre-mer et intérieurs.

Parlons carburant : Qu'est-ce qui vous a poussé à vous joindre à l’Aviation royale canadienne?

Cela représentait une occasion de développement personnel et professionnel, tout en étant au service d'une plus grande cause. J'ai la possibilité de jouer un rôle dans le soutien au Canada et à ses citoyens, tant à l'échelle nationale qu'à l'échelle internationale.

Parlons carburant : Pourquoi servir dans l'armée est-il important pour vous?

Je pense qu’il s'agit d'une excellente façon pour les jeunes adultes de travailler dans un environnement où ils doivent relever des défis et où leur travail est important; plusieurs personnes de mon âge peuvent ne pas comprendre la façon dont nous pouvons avoir une incidence sur le monde. Je perçois le rôle de mon escadron comme un moyen d'apporter des changements positifs partout dans le monde. Les Forces armées canadiennes travaillent à faire respecter la loi, à protéger nos citoyens et à protéger les citoyens de pays où les droits de la personne sont violés. Nous fournissons également des secours en cas de désastre naturel.

Jaden, en service
Jaden, en service

Parlons carburant : De quelles façons l'armée a-t-elle changé votre vie?

Cette expérience m'a appris à devenir plus débrouillard et déterminé en situation de stress intense. J'ai été formé pour avoir un meilleur esprit d’équipe parce que tout ce que nous faisons est axé sur l’équipe. Mon expérience m'a démontré que même si le travail acharné est récompensé, la détermination et la volonté sont essentielles pour surmonter un obstacle, tant professionnel que personnel.

Parlons carburant : Y a-t-il quelque chose que vous souhaiteriez dire aux Canadiens à propos du jour du Souvenir?

Il est facile d'oublier qu'il n'y a pas si longtemps, le monde était un lieu fort différent. Des personnes ont sacrifié leur vie pour éviter que notre monde ne nous échappe. Le jour du Souvenir est une journée durant l'année pour réfléchir et prendre conscience que nous vivons dans le monde d'aujourd'hui grâce aux personnes qui ont perdu la vie pour le préserver. Cela devrait être une leçon d'humilité tandis que nous pensons aux Canadiens qui ont changé les choses durant une période aussi horrible.

Parlons carburant : Que faites-vous pour souligner le jour du Souvenir?

Je participe à des parades et des cérémonies pour rendre hommage aux soldats morts au combat partout dans le monde. Cette année sera exceptionnellement différente. Nous leur rendrons hommage différemment cette année en raison des circonstances sans précédent. Nous nous adapterons et relèverons ce défi, mais nous n'oublierons jamais.

Petro-Canada a un programme de reconnaissance des membres des Forces canadiennes auquel tous les membres actifs et retraités de l'armée peuvent participer.

Parlons carburant : Pouvez-vous nous parler de la relation de Petro-Canada avec les Forces armées canadiennes?

C'est extraordinaire de voir une entreprise porter le symbole national de fierté pour reconnaître ceux qui protègent et servent nos citoyens. Il s'agit d'un geste de gratitude qui rappelle à ceux qui ont choisi de servir qu’ils sont appréciés. Merci. Nous ne sommes pas dans l'armée pour la reconnaissance ou les éloges, mais bien parce que nous croyons en sa raison d'être. Merci de croire en nous et en ceux qui sont morts au combat.

 

Jaden, merci beaucoup d'avoir discuté avec nous aujourd'hui, d'avoir partagé vos réflexions et de nous avoir rappelé l'importance de rendre hommage à ceux qui ont servi notre pays et de se souvenir d'eux.

Il s'agit de la dernière partie de notre série de trois discussions avec des membres de la famille Petro-Canada et leur lien avec les Forces armées canadiennes. Merci d'avoir pris le temps de les lire. #Noublionsjamais


Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 2 : Leçons de vie apprises dans l'Armée

Pour souligner le jour du Souvenir cette année et pour rendre hommage à tous ceux et celles qui ont servi, nous avons demandé à quelques membres de la famille Petro-Canada de partager leurs histoires et leur lien avec les Forces armées canadiennes. Nous publierons trois histoires cette année : hier, c'était celle de William Bradley, un PSI à Sudbury, en Ontario; aujourd'hui, c’est celle de Renald Mazenc, un associé à Calgary, en Alberta et de son fils, Orin Mazenc; et demain, ce sera celle de Christine, une membre de notre équipe Marketing et de son fils, Jaden.

Coquelicots par l'Assemblée législative de la Saskatchewan

La famille de Renald Mazenc a une longue tradition de service militaire. Son père, Henry, a été appelé à servir dans l'armée durant la Seconde Guerre mondiale. Henry a été stationné en France, où il a servi au sein du The Regina Rifle Regiment (maintenant appelé The Royal Regina Rifles).

Henry Mazenc
Henry Mazenc

Le fils de Renald, Orin, admirait l'expérience de son grand-père et s'est joint aux Forces armées canadiennes lorsqu'il était jeune, après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires. Nous avons rencontré Orin, maintenant retraité de l'armée, pour qu'il nous parle de son service militaire.

Parlons carburant : Merci de discuter avec nous aujourd'hui, Orin. Parlons de votre service militaire. Pourquoi vous êtes-vous enrôlé et quels postes avez-vous occupés?

Je me suis enrôlé en 2007. Je savais depuis un moment que je voulais aller dans l'armée. C'était un projet différent et emballant, et dont je pouvais être fier – le service militaire. Et je savais que je voulais faire partie de l'infanterie – être directement sur le terrain. Je me suis enrôlé et je suis allé à l'école de combat, où j'ai appris la transmission de l'information par radio, l'utilisation des petites armes et les tactiques de patrouille – cette formation était axée sur des tâches précises. Après l'école de combat, j'ai été affecté au 3e Bataillon, Princess Patricia's Canadian Light Infantry (3 PPCL). La PPCL avait une histoire intéressante et j'étais très heureux de me joindre à ce régiment.

Orin Mazenc à la formation en parachutisme de la compagnie
Orin Mazenc à la formation en parachutisme de la compagnie

J'ai également été formé comme parachutiste et je suis devenu un patrouilleur de reconnaissance au sein de la compagnie de fusiliers de la 3 PPCL. Comme je faisais partie de ce régiment, j'ai été déployé à Kaboul, en Afghanistan, où j'ai intégré une équipe de formateurs et de mentors. Nous avons formé l'Armée nationale afghane (ANA) sur les tactiques de défense et de patrouille. Une partie de mon travail consistait à donner de la formation et j'ai servi une partie du temps en tant que sentinelle pour notre équipe de formation, ce qui signifie que je veillais sur l'équipe tandis qu'elle formait l'ANA. Pendant mon séjour à Kaboul, j'ai travaillé avec les Corps des Marines des États-Unis et l'Armée des États-Unis, ainsi qu'avec des soldats roumains, grecs et australiens.

Orin Mazenc, à Kaboul
Orin Mazenc, à Kaboul

De retour au Canada, je me suis porté volontaire dans la force aérienne, où j'ai été formé comme pompier. C'est un peu comme un pompier régulier, mais qui travaille parfois avec des avions. Nous répondions aux appels médicaux et nous intervenions en cas d'incendies résidentiels et de feux de forêt. J'étais alors chef adjoint de peloton – le leader tactique. Mon équipe de pompiers et moi étions chargés d'intervenir dans toute « zone chaude » où nous nous trouvions. J'ai récemment pris ma retraite de l'armée et je suis maintenant un civil et j’ai un travail.

Parlons carburant : Orin, votre carrière est extraordinaire! Quelles sont les leçons les plus importantes que vous avez apprises durant vos années dans l'armée?

Soyez toujours fier de votre travail – que vous soyez dans l'armée ou non. Faites de votre mieux parce que les gens le remarquent. Et croyez toujours en vous.

Parlons carburant : Comment célébrez-vous le jour du Souvenir?

J'essaie habituellement de prendre congé et d'assister à une cérémonie qui se déroule au cénotaphe de mon secteur. Malheureusement, je dois travailler cette année. Je pense vraiment que le Canada devrait faire du jour du Souvenir un jour férié national – ce n'est actuellement pas un jour férié dans toutes les provinces.

Parlons carburant : Que voudriez-vous dire aux Canadiens à propos du jour du Souvenir?

Même s'il ne s'agit pas d'un jour férié où vous vous trouvez et vous ne pouvez pas assister à une cérémonie, il est important de prendre quelques instants et de réfléchir à ce que certains Canadiens ont fait et ont sacrifié pour ce pays. Et soutenez la Légion – achetez et portez un coquelicot.

 

Orin, merci infiniment d'avoir pris le temps de nous parler. Et merci pour votre service.

Demain, nous publierons la dernière partie de notre série, où nous discuterons avec Christine et son fils, Jaden.

~Kate T.


Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 1 : Leçons de vie apprises dans l'Armée

Pour souligner le jour du Souvenir cette année et pour rendre hommage à tous ceux et celles qui ont servi, nous avons demandé à quelques membres de la famille Petro-Canada de partager leurs histoires et leur lien avec les Forces armées canadiennes. Nous publierons trois histoires au cours des trois prochains jours : celle de William Bradley, un PSI à Sudbury, en Ontario; celle de Renald Mazenc, un associé à Calgary, en Alberta et de son fils, Orin Mazenc; et celle de Christine, une membre de notre équipe Marketing et de son fils, Jaden.

Single Poppy

La famille de William Bradley a une longue et fière tradition de service militaire. Son père, Norm Bradley, ainsi que ses oncles Ken et Bill Menzies, ont servi au sein des Forces armées canadiennes à titre de membres de la force aérienne durant la Seconde Guerre mondiale. L'autre oncle de William, John Whitehead, a servi dans l'infanterie durant la Seconde Guerre mondiale également.

C'est l’expérience de cet oncle qui a apporté des avantages inattendus bien après la fin de la guerre. John a tout d'abord été fantassin en Italie durant la Seconde Guerre mondiale. Il a ensuite été envoyé aux Pays-Bas, où il a participé à la libération d'Amsterdam. En tant que fantassin, les efforts physiques étaient bien entendu très intenses; de plus, il a été asphyxié plusieurs fois durant son service en temps de guerre en Europe. Ces expériences l'ont préparé pour un événement qui se produirait au chalet familial, près de Catchacoma Lake, en Ontario, des années plus tard.

Des fantassins canadiens en marche près de Modica, en Italie, le 12 juillet 1943.
Des fantassins canadiens en marche près de Modica, en Italie, le 12 juillet 1943. Image fournie par Bibliothèque et Archives Canada.

Une nuit, le gaz de houille provenant du poêle à charbon s'est propagé dans le chalet. La femme de John, Betty, s'est réveillée, puis s'est évanouie après avoir inhalé le gaz. John a réussi à transporter Betty à l'extérieur en sécurité, a ouvert les portes du chalet, puis a mis ses trois enfants à l’abri. Cette histoire familiale a été racontée pendant des années, y compris par Dorothy Bradley, la sœur de Betty et la mère de William. La famille est persuadée que c'est l'expérience militaire de John qui lui a permis de sauver la famille.

Nous avons demandé à William comment il soulignerait le jour du Souvenir cette année. En raison de la COVID-19, il regardera les cérémonies se déroulant aux cénotaphes à la télévision. Il a également versé un don au programme « Projet de soutien en cas de traumatismes » de la Légion canadienne, qui appuie les anciens combattants vivant avec le syndrome de stress post-traumatique, y compris les blessures morales.

Merci, William, de partager votre histoire familiale inspirante avec nous! Restez à l'affût de notre publication de demain sur le service d'Orin Mazenc à Kaboul.

~Kate T.