Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 1 : Leçons de vie apprises dans l'Armée
Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 3 : Leçons de vie apprises dans l'Armée

Histoires à l’occasion du jour du Souvenir, partie 2 : Leçons de vie apprises dans l'Armée

Pour souligner le jour du Souvenir cette année et pour rendre hommage à tous ceux et celles qui ont servi, nous avons demandé à quelques membres de la famille Petro-Canada de partager leurs histoires et leur lien avec les Forces armées canadiennes. Nous publierons trois histoires cette année : hier, c'était celle de William Bradley, un PSI à Sudbury, en Ontario; aujourd'hui, c’est celle de Renald Mazenc, un associé à Calgary, en Alberta et de son fils, Orin Mazenc; et demain, ce sera celle de Christine, une membre de notre équipe Marketing et de son fils, Jaden.

Coquelicots par l'Assemblée législative de la Saskatchewan

La famille de Renald Mazenc a une longue tradition de service militaire. Son père, Henry, a été appelé à servir dans l'armée durant la Seconde Guerre mondiale. Henry a été stationné en France, où il a servi au sein du The Regina Rifle Regiment (maintenant appelé The Royal Regina Rifles).

Henry Mazenc
Henry Mazenc

Le fils de Renald, Orin, admirait l'expérience de son grand-père et s'est joint aux Forces armées canadiennes lorsqu'il était jeune, après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires. Nous avons rencontré Orin, maintenant retraité de l'armée, pour qu'il nous parle de son service militaire.

Parlons carburant : Merci de discuter avec nous aujourd'hui, Orin. Parlons de votre service militaire. Pourquoi vous êtes-vous enrôlé et quels postes avez-vous occupés?

Je me suis enrôlé en 2007. Je savais depuis un moment que je voulais aller dans l'armée. C'était un projet différent et emballant, et dont je pouvais être fier – le service militaire. Et je savais que je voulais faire partie de l'infanterie – être directement sur le terrain. Je me suis enrôlé et je suis allé à l'école de combat, où j'ai appris la transmission de l'information par radio, l'utilisation des petites armes et les tactiques de patrouille – cette formation était axée sur des tâches précises. Après l'école de combat, j'ai été affecté au 3e Bataillon, Princess Patricia's Canadian Light Infantry (3 PPCL). La PPCL avait une histoire intéressante et j'étais très heureux de me joindre à ce régiment.

Orin Mazenc à la formation en parachutisme de la compagnie
Orin Mazenc à la formation en parachutisme de la compagnie

J'ai également été formé comme parachutiste et je suis devenu un patrouilleur de reconnaissance au sein de la compagnie de fusiliers de la 3 PPCL. Comme je faisais partie de ce régiment, j'ai été déployé à Kaboul, en Afghanistan, où j'ai intégré une équipe de formateurs et de mentors. Nous avons formé l'Armée nationale afghane (ANA) sur les tactiques de défense et de patrouille. Une partie de mon travail consistait à donner de la formation et j'ai servi une partie du temps en tant que sentinelle pour notre équipe de formation, ce qui signifie que je veillais sur l'équipe tandis qu'elle formait l'ANA. Pendant mon séjour à Kaboul, j'ai travaillé avec les Corps des Marines des États-Unis et l'Armée des États-Unis, ainsi qu'avec des soldats roumains, grecs et australiens.

Orin Mazenc, à Kaboul
Orin Mazenc, à Kaboul

De retour au Canada, je me suis porté volontaire dans la force aérienne, où j'ai été formé comme pompier. C'est un peu comme un pompier régulier, mais qui travaille parfois avec des avions. Nous répondions aux appels médicaux et nous intervenions en cas d'incendies résidentiels et de feux de forêt. J'étais alors chef adjoint de peloton – le leader tactique. Mon équipe de pompiers et moi étions chargés d'intervenir dans toute « zone chaude » où nous nous trouvions. J'ai récemment pris ma retraite de l'armée et je suis maintenant un civil et j’ai un travail.

Parlons carburant : Orin, votre carrière est extraordinaire! Quelles sont les leçons les plus importantes que vous avez apprises durant vos années dans l'armée?

Soyez toujours fier de votre travail – que vous soyez dans l'armée ou non. Faites de votre mieux parce que les gens le remarquent. Et croyez toujours en vous.

Parlons carburant : Comment célébrez-vous le jour du Souvenir?

J'essaie habituellement de prendre congé et d'assister à une cérémonie qui se déroule au cénotaphe de mon secteur. Malheureusement, je dois travailler cette année. Je pense vraiment que le Canada devrait faire du jour du Souvenir un jour férié national – ce n'est actuellement pas un jour férié dans toutes les provinces.

Parlons carburant : Que voudriez-vous dire aux Canadiens à propos du jour du Souvenir?

Même s'il ne s'agit pas d'un jour férié où vous vous trouvez et vous ne pouvez pas assister à une cérémonie, il est important de prendre quelques instants et de réfléchir à ce que certains Canadiens ont fait et ont sacrifié pour ce pays. Et soutenez la Légion – achetez et portez un coquelicot.

 

Orin, merci infiniment d'avoir pris le temps de nous parler. Et merci pour votre service.

Demain, nous publierons la dernière partie de notre série, où nous discuterons avec Christine et son fils, Jaden.

~Kate T.

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